La théorie sur les mots…
Une nouvelle étude théorique a définit que nous pouvons classer nos paroles en catégories de mots.
Un célèbre groupe informatique a lui-même développé un langage à travers les mots-dèles. La particularité de ce mode de parole est son esthétisme. Caractérisé par la longueur de ses phrases et leur beauté, il a servit de base à quelques autres groupes qui ont finalement disparu pour cause d’anorexie de mots.
Ces cas ne sont pas isolés. Effectivement notre siècle a connu la disparition de plusieurs autres groupes comme les mots-Reux, fatalement imprononçables ou encore les mots-lassons qui lorsqu’ils étaient prononcés rendaient la personne concernée totalement amorphe.
Les mots-sad quand à eux, restent utilisés largement dans les pays anglo-saxons, notamment au Royaume-Uni où le temps amène souvent les habitants à son emploi.
Autre langue, autre catégorie : dans les régions hispaniques seraient souvent rencontrés les mots-skitos, assez désagréables à entendre du fait du bourdonnement incessant qui les accompagnent.
A l’opposé, les mots-ltonés sont des plus recherchés à l’écoute. Il se sont développés à travers les dialectes d’ouvrier d’usines du texas au cours du 20ème siècle. Toujours utilisés dans la région, ils tendent à se propager au monde entier du fait de leur confort.
Les mots-laids sont très rares malgré la pensée de l’opinion publique. Il s’agit de mots très anciens qui sont devenus pour les populations contemporaines difficiles à entendre et à digérer. De plus, ils sont le plus souvent tordus.
Les mots les plus à éviter sont les mots-ribons, assez excécrables…
En ce début de 21ème siècle, un nouveau concept apparaît. Une nouvelle forme de mots tend à s’imposer que les linguistes appellent les Hauts-mots parce qu’ils s’utilisent dans les hautes sphères sociétales. Ils relèvent d’un caractère compliqué et peu compréhensible à première vue. Ils restent employés par une élite cultivée de la population.
Les hauts-mots-nymes sont employés parfois de façon excessive pour se faire reconnaître au sein des groupes de rang social élevé. Cependant ils restent ridicules car la plupart des utilisateurs répétent le même mot dans une même phrase lui donnant un sens complètement différent et ridicule.
Les hauts-mots-neus sont en passe de devenir dépassés. Trop souvent utilisés, ils ont récemment perdu toute leur crédibilité. Ils avaient même donné lieu à la création d’une nouvelle profession, les hauts-mots-niers, spécialistes en hauts-mots-neus, mais ils ont tous été pendus.
Les mots-fléchés sont très ennuyeux. Assemblés, ils forment surtout des phrases incompréhensibles comme « îles, do ce, but, rêve, lac » par exemple.
Les mots-K sont utilisés en périodes froides. Dans les conversations ils sont souvent repérables par l’emploi répétitif de « whipped cream » et « flakes ». Mais assez spéciaux, ils ne sont pas appréciés de tous.
Les mots-tards, dernière catégorie apparue et dernière que nous évoquerons termine lorsqu’elle commence. Le retard étant sa caractéristique principale.
Bien sûr, tous ces mots ne sont mots s’ils ne sont mots-dits, au péril des conséquences de leur emploi…
(la brioche dorée, une occupation qui n’occupe pas…)